En difficultés, les Américains renoncent à des soins de santé

WASHINGTON (AFP) - la fin du mois est toujours difficile pour Beckie Clark, 58, et quand elle doit choisir entre la médecine, un test médical coûteux ou un rendez-vous avec un spécialiste, elle le fait. " ; Dr. Krist a dit, ' ; Si vous cassez une fièvre, vous avez besoin de call.' ; Il m'a dit dit-il ' ; Si vous avez une fièvre nous devrons vous remettre au hospital.' ; " ; Et la première chose qui a continué dans mon esprit était, ' ; Bien, je ne dis rien parce qu'I can' ; t se permettent d'aller à l'hôpital, ' ; " ; Clark a dit. Pour Clark et pour beaucoup d'Américains, la crise économique a des implications pour leur santé. Entre les 20.000 dollars de son fonds de pension qui se sont évaporés du marché boursier et du coût croissant de nourriture et de gaz, Clark a une difficulté maintenir sa tête en surface. Elle a pensé à vendre sa maison, bien qu'elle ne soit pas complètement épongée, mais avec le mauvais allé de marché du logement, elle n'est plus en valeur beaucoup. Mouvements de Clark lentement, à la pitié des douleurs dorsales de tir. Elle a les disques tranchés et a eu six opérations. Elle va voir Dr. Krist chaque semaine mais a mis au loin plus loin des visites au chirurgien et a arrêté toujours des sessions de physiothérapie tout à fait. Et bien qu'elle ait l'assurance médicale maladie, elle est responsable d'une partie de coûts médicaux qui dépasse de loin son budget. Son docteur essaye de l'aider, prescrivant seulement les médicaments génériques, par exemple. Les patients présentant des problèmes financiers sur les médicaux sont devenus une partie croissante de sa pratique. " ; Là a toujours été une issue avec un bon nombre de gens n'ayant pas accès au bon soin, ne pouvant pas avoir les moyens le bons soin et choses comme le ce, " ; il a dit. " ; Mais maintenant, la plupart de chacun est ainsi affecté it' ; s davantage d'une issue de jour en jour, it' ; s plus de quelque chose qui doit être considérée avec chaque patient que nous voyons, avec chacun que nous nous occupons with." ; Selon une étude de l'octobre 2008 par la base de famille de Kaiser, une dans trois Américains a eu la difficulté payer aux factures médicales cette année. Presque moitié des ces examinés dit elles ont eu un membre de la famille qui a fait sans leur médecine ou remis ou réduit à plus tard leur soin médical recommandé en raison du coût. Clark n'était pas le seul patient de Krist' ; s qui a parlé de la douleur financière pour expliquer les factures impayées ou a remis des visites à plus tard. Il a vu trois plus dessus le même jour. On était Jennifer Clark, dont le mari a été juste congédié. La famille a dépendu de son assurance médicale maladie. Maintenant, Clark donne la priorité à son fils âgé de neuf ans. Elle a remis ses deux dernières visites de dentiste et son prochain rendez-vous avec Krist. " ; J'ai déjà pensé cela et je pense que j'essayerai d'obtenir ma prochaine prescription par le téléphone, " ; clark dit, un aide juridique d'administration. " ; Ils essayent de faire plus de choses par le téléphone, par exemple pour parler de leurs résultats de tension artérielle au lieu de les apporter vérifier, " ; Edouard dit Miller, un spécialiste des maladies organiques à Baltimore, le Maryland. Mais à la longue, retarder le soin peut vous rendre plus malade, a dit Donald Fisher, président de l'association américaine de groupe médical. " ; Le problème est qu'en bas de la route vous voyez que les mêmes personnes qui renoncent maintenant à des services de soins de santé se trouveront beaucoup plus malades et ont probablement un impact économique beaucoup plus grand sur eux parce que leur coût montera encore plus, " ; Fisher a dit. La situation est déjà critique, dans sa vue. Pendant des récessions précédentes, pour des trois au semestre, la dépense médicale augmentées rapidement comme des personnes craintives de perdre leur assurance a fourré dans des visites de médecins. Alors est venue une baisse importante comme la diffusion de crise. Mais aujourd'hui, le soin médical est si cher que la baisse dans la dépense médicale soit déjà en cours bon, il a dit.